lundi 10 janvier 2011
Illustration pour Le Monde
La seconde condamnation de MikhaIl Khodorkovsky n’est plus une punition, mais une exécution. L’ancien patron de la compagnie pétrolière Ioukos, emprisonné depuis 2003, a déjà été condamné en 2005 pour évasion fiscale à huit ans de détention. Le jugement du 30 décembre 2010 lui inflige quatorze ans en tout, soit encore sept ans de camp en Sibérie, pour des délits invraisemblables qu’il n’a pas pu commettre. Cette sentence sonne le glas de l’expérience Medvedev et met fin à tout espoir d’une libéralisation prochaine du régime politique.
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